Livret d’entraînement offert à la fin de l’article !
Comment entraîner le mental d’un triathlète ?
Préparer un triathlète à l’Ironman, ce n’est pas juste accumuler des kilomètres à vélo ou en course à pied. C’est aussi préparer le cerveau à gérer l’inconfort, le chaos et la fatigue extrême du jour J.
Chez Minnd, on utilise deux ateliers clés pour ça.
Atelier 1 : Créer de la fatigue… volontairement
Objectif : mettre l’athlète dans un état proche de celui qu’il vivra pendant la course.
Deux leviers principaux :
- Effort physique sous contrainte
Séance sur vélo avec masque respiratoire. Le but : travailler la tolérance à l’inconfort respiratoire, comme lors d’un départ rapide ou d’une montée brutale. - Saturation cognitive
En parallèle, on ajoute une tâche mentale exigeante (calculs, mémorisation, prise de décision rapide) pour saturer l’attention.
Résultat : fatigue physique + fatigue mentale = perte de lucidité. Exactement comme sur le parcours.
Atelier 2 : Imagerie mentale… en conditions hostiles
L’athlète visualise chaque geste clé de la transition, en temps réel.
Exemple : retirer le casque, ranger le vélo, enfiler les chaussures.
Tout est visualisé puis exécuté, sans rupture.
Le tout en ajoutant des perturbations :
- lumière agressive
- bruit
- musique parasite
- stimuli visuels désagréables
Le but : plonger l’athlète dans un environnement chaotique pour que rien, le jour de la course, ne soit une surprise.
Pourquoi ça marche
Parce que le cerveau reconnaît ce qu’il a déjà vécu.
Si l’athlète s’est entraîné à rester lucide dans l’inconfort, le chaos devient familier.
Et ce qui est familier est beaucoup plus facile à gérer, même quand les jambes brûlent et que le souffle manque.
Pour te permettre d’entraîner toi aussi ton mental pour ton prochain traithlon, nous t’avons préparé un livret qui contient un protocole complet et les explications pour l’implémenter de manière optimale. Pour l’obtenir, il te suffit simplement de cliquer sur le lien ci-dessous :